L'économie marocaine s’apprête à connaître cette année son pire taux de croissance depuis vingt ans, sur fond de sécheresse et d’épidémie du coronavirus portant atteinte à sa vitale industrie touristique, rapporte ce mardi le média américain Bloomberg.
L’alerte sur la croissance économique a été lancée par Ahmed Lahlimi, patron du Haut-Commissariat au Plan (HCP), un organisme chargé de la production, de l’analyse et de la publication des statistiques officielles au Maroc. Le HCP prévoit ainsi de revoir jusqu’à un tiers à la baisse ses perspectives de croissance pour l’année de 2020.
La croissance devrait ainsi s’établir aux alentours de 2,2% ou 2,3%, alors que l’organisme annonçait auparavant un taux de croissance à 3,5% et que le Fonds monétaire international (FMI) prévoyait un taux de 3,7%.
« Les cieux n’ont pas été très généreux cette année », a déploré Ahmed Lahlimi, précisant que les conditions actuelles « suggèrent que nous sommes en trajectoire pour la plus faible croissance en deux décennies ».
En cause de cette révision à la baisse, l’épidémie du coronavirus qui représente un énorme défi pour le Maroc, fortement dépendant du tourisme en provenance d’Europe. En parallèle, la sècheresse a affecté les récoltes et a contribué à pousser la croissance à son plus bas niveau depuis trois ans. Une baisse exacerbée par la chute du soutien des monarchies du Golfe et la faible demande d’exportation en provenance des marchés européens, explique Bloomberg.
Pour ne pas aider la situation, le Maroc a connu aujourd’hui son premier décès lié à l’épidémie du coronavirus, alors que le pays ne recense pourtant que trois cas confirmés de contamination. La victime décédée ce mardi est une patiente âgée de 89 ans et qui souffrait de maladies chroniques au niveau de l’appareil respiratoire et du cœur, a annoncé le ministère de la Santé marocain dans un communiqué cité par Yabiladi.
L’alerte sur la croissance économique a été lancée par Ahmed Lahlimi, patron du Haut-Commissariat au Plan (HCP), un organisme chargé de la production, de l’analyse et de la publication des statistiques officielles au Maroc. Le HCP prévoit ainsi de revoir jusqu’à un tiers à la baisse ses perspectives de croissance pour l’année de 2020.
La croissance devrait ainsi s’établir aux alentours de 2,2% ou 2,3%, alors que l’organisme annonçait auparavant un taux de croissance à 3,5% et que le Fonds monétaire international (FMI) prévoyait un taux de 3,7%.
« Les cieux n’ont pas été très généreux cette année », a déploré Ahmed Lahlimi, précisant que les conditions actuelles « suggèrent que nous sommes en trajectoire pour la plus faible croissance en deux décennies ».
En cause de cette révision à la baisse, l’épidémie du coronavirus qui représente un énorme défi pour le Maroc, fortement dépendant du tourisme en provenance d’Europe. En parallèle, la sècheresse a affecté les récoltes et a contribué à pousser la croissance à son plus bas niveau depuis trois ans. Une baisse exacerbée par la chute du soutien des monarchies du Golfe et la faible demande d’exportation en provenance des marchés européens, explique Bloomberg.
Pour ne pas aider la situation, le Maroc a connu aujourd’hui son premier décès lié à l’épidémie du coronavirus, alors que le pays ne recense pourtant que trois cas confirmés de contamination. La victime décédée ce mardi est une patiente âgée de 89 ans et qui souffrait de maladies chroniques au niveau de l’appareil respiratoire et du cœur, a annoncé le ministère de la Santé marocain dans un communiqué cité par Yabiladi.
Blog Freedom1/tsa-algerie.com
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