Après avoir travaillé près de dix ans avec les plus grands chorégraphes africains, la Française Marion Alzieu veut aujourd’hui tracer son propre sillon.
«Mais qu’est-ce qu’elle fait là ? » La question est la même dans le public, que l’on se trouve parmi des Burkinabè, à la triennale Danse l’Afrique danse !, ou des Français, dans les tribunes du festival Paris l’été. Forme claire évoluant au sein d’une troupe de danseurs africains, Marion Alzieu étonne…
Alors que l’on s’est accoutumé à ce que des professionnels d’origine africaine rejoignent des compagnies occidentales. « Des gens me disent : ‘‘Tu as quand même de l’énergie pour une Blanche !’’ Et d’autres, à cause d’un réflexe postcolonial, sont surpris que j’aie des choses à apprendre en Afrique… »Cela fait près de dix ans que la Française se rend sur le continent pour des créations. Et c’est peut-être sa formation éclectique qui lui a donné la souplesse (de corps et de caractère) pour s’adapter.
Par Léo Pajon/jeuneafrique.com
«Mais qu’est-ce qu’elle fait là ? » La question est la même dans le public, que l’on se trouve parmi des Burkinabè, à la triennale Danse l’Afrique danse !, ou des Français, dans les tribunes du festival Paris l’été. Forme claire évoluant au sein d’une troupe de danseurs africains, Marion Alzieu étonne…
Alors que l’on s’est accoutumé à ce que des professionnels d’origine africaine rejoignent des compagnies occidentales. « Des gens me disent : ‘‘Tu as quand même de l’énergie pour une Blanche !’’ Et d’autres, à cause d’un réflexe postcolonial, sont surpris que j’aie des choses à apprendre en Afrique… »Cela fait près de dix ans que la Française se rend sur le continent pour des créations. Et c’est peut-être sa formation éclectique qui lui a donné la souplesse (de corps et de caractère) pour s’adapter.
Par Léo Pajon/jeuneafrique.com
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