La Turquie s’est hissée à la première place d’un classement affligeant : d’après le Comité pour la protection des journalistes, la Turquie est le pays qui emprisonne le plus de journalistes au monde.
Un tiers des journalistes et professionnels des médias emprisonnés dans le monde sont détenus dans des prisons turques ; la vaste majorité d’entre eux dans l’attente d’un procès.
Certains sont en prison depuis des mois.
L’état d’urgence a été déclaré en juillet, à la suite d’une violente tentative de coup d’État que le président et le gouvernement ont attribuée aux partisans du dignitaire religieux Fethullah Gülen. Des journalistes ont été la cible d’une campagne de répression sans précédent contre tous les médias d’opposition.
Cette stratégie, qui s’ajoute à la fermeture de plus de 160 organes de presse, envoie un message clair et inquiétant : l’espace accordé à la dissidence se réduit chaque jour un peu plus, et celles et ceux qui veulent dénoncer la situation le paient au prix fort.
Un tiers des journalistes et professionnels des médias emprisonnés dans le monde sont détenus dans des prisons turques ; la vaste majorité d’entre eux dans l’attente d’un procès.
Certains sont en prison depuis des mois.
L’état d’urgence a été déclaré en juillet, à la suite d’une violente tentative de coup d’État que le président et le gouvernement ont attribuée aux partisans du dignitaire religieux Fethullah Gülen. Des journalistes ont été la cible d’une campagne de répression sans précédent contre tous les médias d’opposition.
Cette stratégie, qui s’ajoute à la fermeture de plus de 160 organes de presse, envoie un message clair et inquiétant : l’espace accordé à la dissidence se réduit chaque jour un peu plus, et celles et ceux qui veulent dénoncer la situation le paient au prix fort.
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