Grâce à sa victoire convaincante contre la Slovaquie, l'Espagne a pris la tête de son groupe qualificatif pour l'Euro 2016.
L'Espagne, double championne d'Europe en titre, a dompté la Slovaquie avec une autorité et une virtuosité retrouvées (2-0) samedi en qualifications pour l'Euro 2016, prenant la 1re place du groupe C et une option sur un billet pour le rendez-vous de l'été prochain.
A Oviedo (Asturies), un but précoce de Jordi Alba sur une louche lumineuse de l'intenable David Silva (5e) puis un penalty d'Andres Iniesta (30e) obtenu par Diego Costa ont permis aux Espagnols de mettre fin à la série d'invincibilité des Slovaques dans ces éliminatoires (6 succès en 6 matches jusque-là).
Surtout, revoici la "Roja" installée aux commandes de la poule avec 18 points, soit autant que la Slovaquie mais avec le bénéfice définitif d'une meilleure différence de buts particulière malgré la défaite subie à Zilina en octobre 2014 (2-1).
A trois matches de la fin, les champions d'Europe 2008 et 2012 peuvent légitimement rêver de défendre leur titre en France: la Slovaquie (2e) et l'Ukraine (3e, 15 pts) s'affronteront mardi prochain dans un match peut-être décisif pour la 2e place, elle aussi directement qualificative pour l'Euro, tandis que l'Espagne ira en Macédoine, dernière du groupe.
A l'évidence, les joueurs de Vicente del Bosque ont repris du poil de la bête, un an après le fiasco de leur élimination prématurée au Mondial 2014. Loin de l'équipe inoffensive et émoussée aperçue l'an dernier, la "Roja" a été emballante grâce à ses leaders techniques, en particulier l'épatant Silva.
A la cinquième minute, son ouverture pour Alba dans le dos de la défense très remaniée de la Slovaquie a offert à l'Espagne cet avantage précoce qui lui permet d'éviter les scénarios trop cadenassés.
Et quand Silva, Iniesta, Cesc Fabregas, Pedro Rodriguez ou Sergio Busquets sont en forme, comme samedi, le jeu de passes espagnol a des fulgurances qui ont fait rugir de plaisir le stade Carlos-Tartiere d'Oviedo.
Certes, Diego Costa, de retour en sélection après maints pépins physiques, a toujours du mal à s'intégrer à ce jeu en petit périmètre. Mais l'esprit de sacrifice de l'attaquant hispano-brésilien est précieux et il a répondu aux critiques concernant son inefficacité (1 but en 8 sélections) en provoquant un penalty après avoir dribblé le gardien en bout de course (29e). Bref, la "Roja" semble retrouver des couleurs pour la dernière ligne droite avant l'Euro.
Et même le gardien et capitaine Iker Casillas, coupable d'une bourde l'an dernier lors de la défaite en Slovaquie, s'est rattrapé samedi avec deux belles interventions (42e, 51e). De quoi fêter en beauté sa 163e sélection, la 100e avec le brassard de capitaine et la première depuis son départ du Real Madrid cet été pour le FC Porto.
L'Espagne, double championne d'Europe en titre, a dompté la Slovaquie avec une autorité et une virtuosité retrouvées (2-0) samedi en qualifications pour l'Euro 2016, prenant la 1re place du groupe C et une option sur un billet pour le rendez-vous de l'été prochain.
A Oviedo (Asturies), un but précoce de Jordi Alba sur une louche lumineuse de l'intenable David Silva (5e) puis un penalty d'Andres Iniesta (30e) obtenu par Diego Costa ont permis aux Espagnols de mettre fin à la série d'invincibilité des Slovaques dans ces éliminatoires (6 succès en 6 matches jusque-là).
Surtout, revoici la "Roja" installée aux commandes de la poule avec 18 points, soit autant que la Slovaquie mais avec le bénéfice définitif d'une meilleure différence de buts particulière malgré la défaite subie à Zilina en octobre 2014 (2-1).
A trois matches de la fin, les champions d'Europe 2008 et 2012 peuvent légitimement rêver de défendre leur titre en France: la Slovaquie (2e) et l'Ukraine (3e, 15 pts) s'affronteront mardi prochain dans un match peut-être décisif pour la 2e place, elle aussi directement qualificative pour l'Euro, tandis que l'Espagne ira en Macédoine, dernière du groupe.
A l'évidence, les joueurs de Vicente del Bosque ont repris du poil de la bête, un an après le fiasco de leur élimination prématurée au Mondial 2014. Loin de l'équipe inoffensive et émoussée aperçue l'an dernier, la "Roja" a été emballante grâce à ses leaders techniques, en particulier l'épatant Silva.
A la cinquième minute, son ouverture pour Alba dans le dos de la défense très remaniée de la Slovaquie a offert à l'Espagne cet avantage précoce qui lui permet d'éviter les scénarios trop cadenassés.
Et quand Silva, Iniesta, Cesc Fabregas, Pedro Rodriguez ou Sergio Busquets sont en forme, comme samedi, le jeu de passes espagnol a des fulgurances qui ont fait rugir de plaisir le stade Carlos-Tartiere d'Oviedo.
Certes, Diego Costa, de retour en sélection après maints pépins physiques, a toujours du mal à s'intégrer à ce jeu en petit périmètre. Mais l'esprit de sacrifice de l'attaquant hispano-brésilien est précieux et il a répondu aux critiques concernant son inefficacité (1 but en 8 sélections) en provoquant un penalty après avoir dribblé le gardien en bout de course (29e). Bref, la "Roja" semble retrouver des couleurs pour la dernière ligne droite avant l'Euro.
Et même le gardien et capitaine Iker Casillas, coupable d'une bourde l'an dernier lors de la défaite en Slovaquie, s'est rattrapé samedi avec deux belles interventions (42e, 51e). De quoi fêter en beauté sa 163e sélection, la 100e avec le brassard de capitaine et la première depuis son départ du Real Madrid cet été pour le FC Porto.
Freedom1
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