La France aurait espionné les télécommunications au Maroc. Des diplomates et des hommes politiques marocains auraient été ainsi mis sous écoute illégale par le service du contre-espionnage extérieur français.
Le programme d’espionnage lancé par la Direction Générale de la Sécurité Extérieure sous le mandat de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, serait encore en vigueur aujourd’hui, d’après Le Nouvel Observateur.
Un budget de 700 millions d’euros a été alloué à cette opération d’espionnage de grande envergure qui a concerné plusieurs pays à travers le monde, dont les Etats-Unis, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Arabie Saoudite, la Chine et la Russie.
Les services secrets français auraient intercepté le trafic câble en provenance d’une quarantaine de pays, depuis des stations clandestines d’écoutes, installées le long des côtes françaises, d’après des témoignages anonymes d’anciens responsables et d’autres encore en activité.
Les informations recueillies sont triées au quotidien par des ordinateurs très puissants. (...) "Des dizaines de millions d’e-mails, de SMS, d’échanges par Skype, WhatsApp, Facebook...", ont ainsi été traités. Ces opérations d’espionnage n’avaient pas pour objectif uniquement la lutte contre le terrorisme, mais visaient aussi des hommes politiques, des diplomates et des décideurs économiques.
Le programme d’espionnage lancé par la Direction Générale de la Sécurité Extérieure sous le mandat de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, serait encore en vigueur aujourd’hui, d’après Le Nouvel Observateur.
Un budget de 700 millions d’euros a été alloué à cette opération d’espionnage de grande envergure qui a concerné plusieurs pays à travers le monde, dont les Etats-Unis, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Arabie Saoudite, la Chine et la Russie.
Les services secrets français auraient intercepté le trafic câble en provenance d’une quarantaine de pays, depuis des stations clandestines d’écoutes, installées le long des côtes françaises, d’après des témoignages anonymes d’anciens responsables et d’autres encore en activité.
Les informations recueillies sont triées au quotidien par des ordinateurs très puissants. (...) "Des dizaines de millions d’e-mails, de SMS, d’échanges par Skype, WhatsApp, Facebook...", ont ainsi été traités. Ces opérations d’espionnage n’avaient pas pour objectif uniquement la lutte contre le terrorisme, mais visaient aussi des hommes politiques, des diplomates et des décideurs économiques.
Freedom1/bladi
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