Une universitaire nord-américaine en énumère les raisons dans un livre provocateur: les avantages sont devenus grandement inférieurs aux risques.
Par un de ces curieux hasards, alors qu'un couple helvétique médiatiquement exposé défraie la chronique, le Daily mail se penche sur son site sur les raisons qui poussent les hommes à de plus en plus refuser de s'engager dans le mariage. Le quotidien populaire britannique évoque à cet effet un livre provocateur, «Pourquoi les hommes évitent le mariage, la paternité et le Rêve Américain», écrit par Helen Smith, professeure à l'Université du Tennessee.
L'auteure n'y va pas par quatre chemins. En substance, elle affirme que les avantages ne sont plus ce qu'ils étaient et que les risques et les coûts sont bien supérieurs. «Au bout du compte, les hommes savent qu'ils risquent de perdre leurs amis et leur respect, leur espace vital, leur vie sexuelle, leur argent, et, si tout se passe mal, leur famille», écrit-elle. «Ils ne veulent plus souscrire un contrat légal avec une personne qui pourrait les priver de la moitié de leur fortune une fois la lune de miel éclipsée».
De là à affirmer «Désolé Mesdames, mais c'est entièrement de votre faute» en guise de résumé de la pensée de l'universitaire, il n'y a qu'un pas que franchit allégrement le tabloïd.
Par un de ces curieux hasards, alors qu'un couple helvétique médiatiquement exposé défraie la chronique, le Daily mail se penche sur son site sur les raisons qui poussent les hommes à de plus en plus refuser de s'engager dans le mariage. Le quotidien populaire britannique évoque à cet effet un livre provocateur, «Pourquoi les hommes évitent le mariage, la paternité et le Rêve Américain», écrit par Helen Smith, professeure à l'Université du Tennessee.
L'auteure n'y va pas par quatre chemins. En substance, elle affirme que les avantages ne sont plus ce qu'ils étaient et que les risques et les coûts sont bien supérieurs. «Au bout du compte, les hommes savent qu'ils risquent de perdre leurs amis et leur respect, leur espace vital, leur vie sexuelle, leur argent, et, si tout se passe mal, leur famille», écrit-elle. «Ils ne veulent plus souscrire un contrat légal avec une personne qui pourrait les priver de la moitié de leur fortune une fois la lune de miel éclipsée».
De là à affirmer «Désolé Mesdames, mais c'est entièrement de votre faute» en guise de résumé de la pensée de l'universitaire, il n'y a qu'un pas que franchit allégrement le tabloïd.
Freedom1
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