Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture...
"Jeune Afrique" dresse la liste des 50
personnalités les plus influentes du pays. Parmi eux, Driss El Yazami et
Khadija Riyadi qui poursuivent leur combat.
Aux stucs ciselés de l'ancien palais colonial où siège le Conseil national des droits de l'homme (CNDH), Driss El Yazami préfère des bureaux fonctionnels. Homme d'action plus que de représentation, cet ancien maoïste, en exil jusqu'au début des années 2000 et membre de 2004 à 2006 de l'Instance Équité et Réconciliation, a été nommé président du CNDH à sa création, en mars 2011.
Remplaçant le Conseil consultatif des droits de l'homme, cette autorité administrative indépendante est chargée de défendre et de promouvoir les droits humains, en établissant notamment des rapports et des recommandations à l'usage des autorités politiques. Mais, comme le souligne son président, le CNDH n'est pas une structure militante comme l'est l'Association marocaine des droits de l'homme (AMDH), dont l'ancienne présidente Khadija Riyadi a reçu le 10 décembre 2013 un prix des Nations unies pour son action "à l'avant-garde de la lutte contre l'impunité, la pleine égalité homme-femme et la liberté d'expression".- Par Laurent De Saint Perier
En savoir plus sur Jeuneafrique.com : Les 50 qui feront le Maroc en 2014
Khadija Riyadi |
Aux stucs ciselés de l'ancien palais colonial où siège le Conseil national des droits de l'homme (CNDH), Driss El Yazami préfère des bureaux fonctionnels. Homme d'action plus que de représentation, cet ancien maoïste, en exil jusqu'au début des années 2000 et membre de 2004 à 2006 de l'Instance Équité et Réconciliation, a été nommé président du CNDH à sa création, en mars 2011.
Remplaçant le Conseil consultatif des droits de l'homme, cette autorité administrative indépendante est chargée de défendre et de promouvoir les droits humains, en établissant notamment des rapports et des recommandations à l'usage des autorités politiques. Mais, comme le souligne son président, le CNDH n'est pas une structure militante comme l'est l'Association marocaine des droits de l'homme (AMDH), dont l'ancienne présidente Khadija Riyadi a reçu le 10 décembre 2013 un prix des Nations unies pour son action "à l'avant-garde de la lutte contre l'impunité, la pleine égalité homme-femme et la liberté d'expression".- Par Laurent De Saint Perier
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